In Hamilton in the early twentieth century, workers and their families could and did attend churches that were predominantly working class. These churches were simple and modest, were managed and financially sustained by their working-class congregations, offered an old-fashioned evangelical message on Sunday mornings, and provided a rich and diverse associational life. While these churches attracted working-class families, gender and marital status influenced individuals' participation. Church members were more likely to be women than men, and married rather than single. Many families also had irregular contact with the church; parents who were not church members, for example, often chose to baptize their children and send them to Sunday School. Church attendance was only one aspect of the religious life of Hamilton's working-class families.
Au début du XXe siècle, les travailleurs de Hamilton et leurs familles pouvaient fréquenter et fréquentaient des églises dont les paroissiens provenaient surtout de la classe ouvrière. Il s’agissait d’églises simples et modestes qui étaient gérées et financeés par des assemblées de fidèles de la classe ouvrière, prêchaient un message évangélique traditionnel les dimanches matins et offraient une vie associative riche et diversifiée. Certes, ces églises attiraient des familles de la classe ouvrière, mais la participation des gens dépendait également de leur sexe et de leur état matrimonial. Les fidèles étaient plus susceptibles d’être des femmes que des hommes et mariés que célibataires. Beaucoup de familles ne fréquentaient également que sporadiquement l’église; les parents qui n’en étaient pas membres, par exemple, choisissaient souvent de baptiser leurs enfants et de les envoyer à l’école du dimanche. La fréquentation
de l’église n’était qu’un des aspects de la vie religieuse des familles de la classe ouvrière de Hamilton.